Nous eûmes la chance de n’avoir subi qu’une seule après-midi la célèbre « douche écossaise », ...
... qui rendit dantesque la descente d’une montagne par des sentiers soudainement transformés en torrent de boue, sous une pluie diluvienne que des bourrasques d’un vent comme sorti de l’enfer transformait en autant d’aiguillons glacés.