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les photos de Christophe

Des phares en Bretagne

Certaines images ont été produites lors d’un voyage-photo organisé par l’agence « Photographe du Monde », pendant lequel une partie était consacrée à sillonner la côte brestoise du Finistère.
D’autres ont été prises lors de divers séjours sur la côte bretonne.

 

Achevé en 1845, l’ancien phare de l’île Vierge montra ses limites dès la fin du 19ème siècle (manque de puissance). Avec une hauteur de 82,5 mètres, le nouveau phare, achevé en 1902, est le 4ème plus haut du monde, et le premier parmi les phares en pierre.


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La maison-phare de Pontusval est érigée sur la plage de Brigognan.

 

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Construit avec difficulté de 1869 à 1874, le Four marque la séparation entre Manche et Océan Atlantique.

 

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Le phare situé sur la presqu’île de Kermorvan garde le port du Conquet depuis 1849.

 

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Mis en service en 1848, le phare du Petit-Minou a une double utilité : indiquer la rade de Brest et signaler les « Fillettes », qui est un dangereux plateau de rochers immergés.

 

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Déjà au 12ème siècle, les moines établis sur la pointe Saint Mathieu entretinrent un feu destiné aux navires croisant dans les parages.
En 1835 un phare moderne et un sémaphore sont construits dans les ruines de l’abbaye.

 

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Le phare de la Vieille est fut construit de 1882 à 1887, sur un rocher situé à moins d’un mille de la Pointe du Raz, afin de sécuriser le ras de Sein.

 

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Situé sur la pointe de Penmarc’h, à côté de ses prédécesseurs (« la Vieille Tour » et le « phare de Penmarc’h »), le phare d’Eckmühl fut achevé en 1897.
Sa hauteur de 60 mètres permettaient de moderniser la signalisation maritime.
Le nom du phare vient de celui de la généreuse donatrice qui a permis sa construction : la marquise Adélaïde-Louise d’Eckmühl de Blocqueville.

 

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Outre son allure de navette spatiale, l’autre originalité du phare de Bodic est de ne pas se trouver en bord de mer, mais de s’élever en plein champ, le long de l’estuaire du Trieux.

 

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Le phare de L’Ost-Pic se situe quant à lui à l’extrémité orientale du récif des Mez-de-Goëlo (en effet, « L’Ost-Pic » est une déformation du breton « lost pic » signifiant « pointe de la queue »).

 

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Construit en 1832 sur un rocher submergé à chaque marée, dans un environnement très hostile (courants violents, déferlantes, ...), le phare des Héaux de Bréhat signale l’extrémité ouest de la baie de Saint-Brieuc.

 

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Le phare du Paon est situé à l’extrémité nord de l’île de Bréhat. Dynamité en 1944, sa reconstruction à l’identique fut achevée en 1952.

 

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La maison-phare de la pointe du Toulinguet (à l’extrémité de la presqu’île de Crozon) date de 1849.
Son accès est interdit car située en terrain militaire, en raison du sémaphore de la Marine nationale tout proche.

 

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Bien qu’incorrectement orthographié, Mean Ruz est le nom officiel du phare de Ploumanac’h, construit en granite rose en 1946 (l’orthographe correcte Maen Ruz signifie « pierre rouge » en breton).

Il est situé sur la côte de granit rose, et indique plus précisément la passe menant au port de Ploumanac’h, dans la commune de Perros-Guirec.

Il remplace le premier phare de 1860, détruit pendant la deuxième guerre mondiale.

 

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